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Qui sommes-nous ?

 

Notre local

Nous sommes une association d’historiens amateurs et nous nous intéressons au patrimoine historique et culturel de notre commune. Nous sommes également membre de la Société des Historiens du Pays-de-Retz.

Si vous désirez nous rejoindre, n’hésitez pas à nous contacter : historiensboiseens@gmail.com

NOS ACTIVITÉS

Recherche dans les archives privées et publiques
Collecte de la mémoire vivante
Recherche et mise en œuvre des gestes et techniques d’autrefois
Collecte d’iconographies communales afin d’en faire une sauvegarde informatisée ou cinématographique
Sauvegarde du patrimoine de la commune
Présentation de nos recherches sous forme d’expositions
Réalisation de vidéos et de livres sur nos activités
Création de maquettes du patrimoine communal
Voyages d’études à caractère historique
Organisation de conférences
Animation auprès des scolaires, maisons de retraite et autres structures

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Les arbres de la Liberté

Les arbres de la Liberté à Saint-Jean-de-Boiseau plantation de l'arbre de la liberté Historique Les premiers arbres : 1789-1791 À l’époque de la Révolution, par imitation de ce qui s’était fait aux Etats-Unis à la suite de la guerre d’indépendance avec les poteaux de la liberté, l’usage s’introduisit, en France, de planter avec cérémonie un jeune peuplier dans les communes françaises. L’exemple en fut donné, en 1790, par le curé de Saint-Gaudens dans la Vienne, qui fit transplanter un chêne de la forêt voisine au milieu de la place de son village. L’élan de 1792 Les plantations d’arbres de la liberté se multiplient au printemps et à l’été 1792 : la France, en guerre contre l’Autriche, est saisie d’un élan patriotique, et la défense de la patrie se confond avec celle des conquêtes de la Révolution. L’arbre devient donc un symbole fort de l’idéal révolutionnaire. Le peuplier est alors préféré au chêne et, dès le commencement de 1792, plusieurs villes plantèrent des arbres de la liber...

Une petite grille bien mystérieuse

  Sur l'autel  en pierre, datant du XV ème siècle, on observe, sur la partie droite, une petite  grille en fer forgé de 12 cm x 12 cm dont l’usage a toujours été mystérieux. La grille est encastrée dans la pierre et affleure au niveau du dessus de la table d'autel comme le montre la photo. Elle couvre une sorte d’entonnoir, creusé dans la pierre. Celui-ci communique avec un conduit taillé dans la pierre qui débouche 30 cm au-dessous, sur le côté. Toutes les éminentes personnalités qui ont visité la chapelle comme Job an Irien n’ont pu donner d'explications à la présence de cette grille. La Société d’histoire de Saint Jean de Boiseau aimerait savoir s'il existe une semblable grille sur un autel en France où à l'étranger et quel était son usage.

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Jacques Belthé est né à Paris 6ème le 23 octobre 1923. Il est l’aîné d’une famille Jacques Belthé de trois enfants, deux garçons et une fille. Michel, son frère est plus jeune de trois ans et sa sœur Christiane est la petite dernière. Elle suit des études à l’EPS Aristide Briand de Nantes et est la marraine de guerre du copain de son frère, Maurice Loirant. Jacques a aussi un demi-frère, René Mocquard, un peu plus âgé, car sa mère, Cécile, veuve s’est remariée à Antoine Belthé. Après un séjour parisien Antoine trouve un emploi à Indret et la famille s’installe à la Cruaudière. Jacques est un garçon très casse-cou, un peu "grande gueule ", plus porté sur la chasse, la pêche et les copains que sur les études…. Sa correspondance avec sa famille semble montrer un certain complexe d’infériorité vis à vis de son père, ses frères et sa sœur, dont les situations lui paraissent meilleures que la sienne dans le civil. Pour cela, il cherchera à compenser ce qu’il considère comme une la...