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Journée Européenne du Patrimoine

 Dimanche 21 septembre, de 14 h à 18 h, les historiens vous attendent pour vous faire découvrir : 


- la chapelle de Bethléem est un édifice du 15e siècle, construite sur un ancien site druidique, classée monument historique.

Fortement dégradée à l'intérieur, au fil du temps, nous essayons de lui rendre un peu de lustre. Pour cela nous avons reconstruit l'autel, en bois, à l'identique. Les vitraux d'origine, en partie cassés avaient été remplacé par du plexiglass, aujourd'hui très abimé. Nous en avons remplacé une partie par des nouveaux plexiglass imprimés avec les vitraux d'origine. 

- l'église, restaurée en 2016, présente de nombreux éléments architecturaux intéressants : la voûte dont on a conservé un élément étoilé d'origine, les sablières et ses sculptures.

- nous vous proposons de découvrir les lieux et monuments importants de la commune au cours d'une balade accompagnée d'un membre de la Société d'Histoire :  la maison d'un acteur célèbre, le château du Pé, l'ancien lavoir etc... Départ et retour du parking de la chapelle de Bethléem, environ 1 h 15, marche facile accessible aux familles.

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Les arbres de la Liberté

Les arbres de la Liberté à Saint-Jean-de-Boiseau plantation de l'arbre de la liberté Historique Les premiers arbres : 1789-1791 À l’époque de la Révolution, par imitation de ce qui s’était fait aux Etats-Unis à la suite de la guerre d’indépendance avec les poteaux de la liberté, l’usage s’introduisit, en France, de planter avec cérémonie un jeune peuplier dans les communes françaises. L’exemple en fut donné, en 1790, par le curé de Saint-Gaudens dans la Vienne, qui fit transplanter un chêne de la forêt voisine au milieu de la place de son village. L’élan de 1792 Les plantations d’arbres de la liberté se multiplient au printemps et à l’été 1792 : la France, en guerre contre l’Autriche, est saisie d’un élan patriotique, et la défense de la patrie se confond avec celle des conquêtes de la Révolution. L’arbre devient donc un symbole fort de l’idéal révolutionnaire. Le peuplier est alors préféré au chêne et, dès le commencement de 1792, plusieurs villes plantèrent des arbres de la liber...

Une petite grille bien mystérieuse

  Sur l'autel  en pierre, datant du XV ème siècle, on observe, sur la partie droite, une petite  grille en fer forgé de 12 cm x 12 cm dont l’usage a toujours été mystérieux. La grille est encastrée dans la pierre et affleure au niveau du dessus de la table d'autel comme le montre la photo. Elle couvre une sorte d’entonnoir, creusé dans la pierre. Celui-ci communique avec un conduit taillé dans la pierre qui débouche 30 cm au-dessous, sur le côté. Toutes les éminentes personnalités qui ont visité la chapelle comme Job an Irien n’ont pu donner d'explications à la présence de cette grille. La Société d’histoire de Saint Jean de Boiseau aimerait savoir s'il existe une semblable grille sur un autel en France où à l'étranger et quel était son usage.

Edmond Bertreux

  1 - Origine familiale Les ancêtres d’Edmond Bertreux, sont originaires de Saint Jean de Boiseau du côté paternel et de Bouguenais du côté maternel. Sa mère Marie, née David, est la fille d’un patron pêcheur des bords de Loire vivant quai de la vallée à Bouguenais. Paul David a été immortalisé devant sa maison, dans sa plate, par Pierre Fréor. Bien plus tard, Edmond, son petit fils, devenu peintre immortalisera sur de nombreuses toiles ce paysage bucolique du bas de Bouguenais.    Son grand-père paternel, Jean-Marie, habite le village de Boiseau en face de la place de la République où se trouve l’arbre de la liberté.   Lorsqu'il a fini sa journée de travail à Indret, il effectue des travaux agricoles dans sa vigne pour "mettre un peu de beurre dans les épinards". Son fils Jean, le père d’Edmond Bertreux, est dessinateur industriel aux Chantiers de la Loire à Nantes. Il est par ailleurs peintre amateur et se retrouve régulièrement à Saint-Jean-de-Boiseau pour...